Notre quotidien, notre maison, notre matériel, nos habitudes, nos peurs et nos doutes nous confortent et nous enferment dans ce que nous sommes.

J’enlève tout.

Ne reste que deux individus, deux cages, un espace,…

Une tranche de vie.

Au bout du compte le cycle recommence,

une boucle perpétuelle qui nous ramène toujours à une même question : le besoin mutuel est-il vital à notre équilibre, à notre quête intérieure ?

Est-il une étape vers un bonheur immatériel ?





         Sur le thème du Féminin et du masculin, la pièce se présente comme une expérience vivante.

C’est un espace ouvert, une terre vierge entre les genres, un espace de dialogues, d’échanges, de conflits.

Un corridor qui relie nos moitiés féminines et masculines, chacune se mêle à l’autre se mélange, s’oublie, se perd et se retrouve.

On peut lire cette pièce comme une analogie de nos conflits internes entre nos parts féminines et masculines, et aussi comme une vision personnelle de nos relations à l’autre sexe, réelles ou fantasmées.